Les débats économiques font partie de nos vies.
Mais pour qu’il y ait débat(s), il faut qu’il y ait des idées et l’acceptation des démarches différentes.
Voici que dans les grandes écoles et les universités, les courants « hétérodoxes », plus contestataires ou moins orthodoxes sont écrasés au profit des idées économiques dominantes.
Le pluralisme des idées en est réduit et il ne reste plus guère de place pour des approches différentes.
Or, c’est là un des enjeux de la démocratie.
Des approches différentes pour provoquer débats et partages.
(Article ici: https://www.alternatives-economiques.fr/florence-jany-catrice-allons-vers-lextinction-de-toute-pluralite/00104390 )
A Durbuy, l’approche économique repose sur des concepts des années 60/ 70, ceux de Margaret Thatcher et de Ronald Reagan.
Rien n’a changé. Tout doit être rentable et produire des profits.
Seul le commerce et l’argent sont importants.
L’environnement c’est de l’argent, l’air et l’eau, le climat aussi.
La culture on s’en fout , l’agriculture aussi, de toute façon les grandes surfaces regorgent de produits venus du bout du monde à bon marché.
Les gens on s’en tape. S’ils sont pauvres c’est de leur(s) faute(s). S’il travaillaient, ils seraient riches.
En face, il n’y a plus rien…ceux qui veulent en parler sont jetés comme des malpropres, des ignares, des demeurés,
des pauvres d’esprit, des écolos dégradés par une alimentation végétarienne.
L’acceptation de la pluralité des idées, c’est pas le fort des dinosaures Durbuysiens.